Tu sais ce moment où t’as le cœur qui cogne et la gorge un peu serrée ?

Ce moment où tu sens que tu es au bord d’un truc…

Mais que t’hésites.

Tu sais que tu devrais y aller.

Tu sais que ça t’appelle.

Mais tu restes figé.

Et si je te disais que ce moment-là,

c’est le vrai début de ta vie ?


Tout part d’un choix.

Pas d’une opportunité.

Pas d’une chance.

Pas d’un alignement magique des planètes.

Un putain de choix.

Et ce choix-là, c’est rarement confortable.

Parce qu’il te demande deux choses que personne ne t’apprend à faire :

  1. Renoncer
  2. Avancer vers l’inconnu

Mais c’est ça, le vrai prix de la liberté.


Le problème, c’est qu’on nous a programmé à l’envers.

On t’a appris à rester sage.

À rentrer dans les cases.

À choisir ce qui “rassure” les autres, même si toi tu crèves à l’intérieur.

On t’a dit que le CDI, la retraite à 67 ans, la maison avec crédit sur 25 ans,

c’était ça, la réussite.

Mais on ne t'a jamais appris à te choisir TOI.


Et moi aussi, j’ai mis du temps à comprendre ça.

J’ai fait des choix qui m’ont coûté cher.

Pas juste en argent. En confort, en relation, en identité.

J’ai quitté un associé, avec qui j’avais construit un projet solide.

On avait investi du temps, de l’argent, de l’énergie.

Mais je sentais que ce n’était plus aligné.

Alors j’ai coupé.

Résultat : des milliers d’euros envolés… et un vide brutal.

Mais je l’ai fait.

Parce que je me suis choisi.

J’ai quitté un CDI stable, bien payé.

Celui que tout le monde te dit de garder.

Sécurité, mutuelle, plan de carrière.

Mais j’étais en train de m’éteindre.

Alors, j'ai claqué la porte.

Et j’ai sauté dans le vide.

Sans parachute.

Juste avec une conviction intérieure : ma liberté vaut plus que mon salaire.


Choisir, ce n'est pas juste décider.

C’est affirmé :

“Je reprends le pouvoir.”

Et ce pouvoir fait peur. Parce qu’il est brut. Il est sans filet.

Quand tu oses faire un choix, tu acceptes aussi :

  • De ne pas savoir ce qui t’attend
  • De quitter un truc qui te rassurait (même s’il te détruisait)
  • D’assumer les conséquences

Mais c’est aussi là que tu redeviens vivant.


La vérité ?

Même ne pas choisir…

C’est un choix.

Quand tu restes dans une relation qui t’éteint,

un taf qui t’épuise,

un environnement qui te tire vers le bas…

Tu fais le choix de ne pas changer.

Et donc, de laisser la vie choisir à ta place.


Le choix, c’est un muscle.

Plus tu l’utilises, plus tu es solide.

Et plus tu le repousses… plus tu es dépendant, fragile, à la merci des autres.

Tu veux reprendre ta vie en main ?

Commence par les petits choix :

  • Ce que tu regardes
  • Ce que tu lis
  • À qui tu donnes ton énergie
  • Ce que tu tolères

C’est là que tu redeviens souverain.


Et ouais, choisir ça fait peur.

Mais tu sais ce qui fait encore plus peur ?

Regretter.

Regretter de pas avoir osé.

Regretter de t’être trahi pour “faire plaisir”.

Regretter d’avoir attendu une permission… qui n’est jamais venue.


Alors pose-toi cette question simple :

“Et si aujourd’hui, je faisais un choix vrai ?
Même petit.
Même flippant.
Mais aligné.”

Parce que c’est ça, au fond, le début de la souveraineté.

Pas de miracle.

Pas de “plan parfait”.

Juste un choix. Un vrai.


Conclusion

Tu n'as pas besoin de changer toute ta vie d’un coup.

Tu as besoin de faire un choix.

Celui qui te rapproche de toi-même.

Et si tu as peur, c’est normal.

Mais avance quand même.

Parce qu’il n’y a pas besoin de demander la permission pour devenir une légende.

Mais il faut faire un choix.

Un vrai.

À l’intérieur.

Jérémy, ici et maintenant.

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