Je ne vais pas te faire un cours sur l’intuition.
Je ne suis pas un maître spirituel. Je suis un mec qui doute, qui teste, qui tombe, qui recommence.
Mais y’a une chose que j’ai apprise à force de me planter et de me perdre :
- Mon corps sait.
- Mon ressenti ne me ment pas.
- Mon inconfort me parle.
Et comme me disait mon professeur de Neuro training, ce qui est fluide est Divin, ce qui est Divin est pour toi. - José Chouraqi
On appelle ça la boussole intérieure.
Et cet article, ce n'est pas une vérité absolue. C’est le fruit d’un chemin, d’un mec en quête de souveraineté, pas d’un mec arrivé.
La carte ou la boussole : à toi de choisir
La société te donne une carte.
Elle te dit : “Voilà le chemin. Études → boulot → CDI → retraite.”
C’est sécurisé. Balisé. Normé.
Mais parfois… cette carte t’éloigne de toi-même.
Moi, j’ai coché toutes les cases :
✅ Bac pro
✅ Job stable chez Airbus
✅ Vie réglée
Mais à l’intérieur ? C’était le désert.
Et j’ai commencé à sentir cette friction.
Un petit truc qui disait : “Tu n'es pas à ta place. Tu n'es pas dans TA vérité.”
Ça, c’était ma boussole interne. Elle criait. Et j’ai mis du temps à oser l’écouter.
Le magnétisme intérieur : quand la vie te tire ailleurs.
Y’a des endroits, des gens, des projets… qui t’attirent sans raison logique.
Tu n'es pas capable d’expliquer pourquoi, mais ça vibre.
T’es tiré, pas poussé.
Ce n'est pas un délire ésotérique. C’est juste du bon sens sensible.
Moi, c’est comme ça que je suis tombé dans le développement personnel.
Puis dans le coaching.
Puis dans les événements, les investissements, les projets d’impact.
À chaque fois, ma tête disait non, mais mon corps disait GO.
Et chaque fois que j’ai écouté ce magnétisme intérieur…
- J’ai grandi.
- J’ai perdu des certitudes.
- Mais j’ai gagné de l’alignement.
Pourquoi on s’éloigne de sa boussole ?
Simple : le bruit.
Le bruit des réseaux. Des injonctions. Des croyances héritées.
Le bruit de tes potes qui veulent bien faire, mais qui t’éteignent à petit feu.
Le bruit de ton propre doute.
Et puis, soyons honnêtes : suivre ta boussole, ça fait flipper.
Parce que ça veut dire :
- Dire non à ce que tu as toujours connu
- Aller là où tu n'as jamais mis les pieds
- Assumer que peut-être… tu t’étais planté jusque-là
C’est plus simple de suivre la carte.
Mais c’est plus vivant de suivre ta vibration.
Comment recalibrer ta boussole
Perso, j’ai appris à la recalibrer comme ça :
- Le silence : c’est dans le vide que tu entends vraiment
- L’écriture : poser mes ressentis, mes contradictions, mes appels
- La solitude : marcher, sans musique, sans distraction
- Les rencontres conscientes : être exposé à d’autres façons de penser
- Et surtout… la question qui tue :
“Qu’est-ce qui m’appelle, même si ça fait flipper ?”
Parce que ce qui t’appelle vraiment…
C’est rarement ce qui est confortable.
Quand tu suis ta boussole, la vie répond.
Ce n'est pas que tout devient facile.
Mais tout devient cohérent.
Les bonnes personnes apparaissent.
Les décisions deviennent plus fluides.
Le doute est là, ouais. Mais la direction est claire.
C’est comme si la vie te testait :
“Tu vas te faire confiance ? Ou tu vas continuer à suivre la carte des autres?”
STORYTIME : comment j’ai appris à la suivre.
Il y a quelques années, j’ai dû quitter un associé.
Projet prometteur, argent engagé, crédibilité en jeu.
Mais je ne vibrais plus. Quelque chose me tirait ailleurs.
J’ai résisté. Hésité. Douté.
Mais cette sensation de lourdeur, cette gêne dans le ventre, elle revenait chaque matin.
J’ai fini par écouter. Et j’ai tout quitté.
Cela m'a n'a pas été simple, mais c'était la bonne chose à faire.
Même chose pour mon CDI.
Confort, salaire, sécurité…
Mais un truc ne collait pas.
J’étais devenu compétent dans un job que je ne voulais plus.
Alors, j'ai sauté.
Et je referai ces choix mille fois.
En conclusion
Ta boussole intérieure ne ment pas.
Mais elle parle bas.
Et dans un monde qui crie, il faut apprendre à tendre l’oreille.
Tu veux reprendre le pouvoir ?
Commence par écouter ce qui vibre.
Même si ça n’a pas de sens pour les autres.
Même si ça n’a pas encore de logique pour toi.
Parce que souvent…
Ce que ton âme veut explorer n’est pas sur la carte.
Et c’est très bien comme ça.
Jérémy, ici et maintenant.
Tu n’es pas né pour subir ta vie. Tu n’es pas né pour attendre la retraite à 67 ans. Tu n’es pas né pour bosser 40h/semaine pour bâtir les rêves des autres.
Tu es né pour reprendre le pouvoir.
Nous sommes tous nés pour gagner, puis avons été programmés pour perdre.